Avant d’ac­cueil­lir une nou­velle plante chez soi, il est préférable de se pos­er plusieurs ques­tions pour faire le bon choix.

Cette plante est-elle facile d’entretien ou demande-t-elle une attention particulière ? 

Préférez-vous quelque chose qui s’arrose peu, comme le zamiocul­cas, ou êtes-vous dis­posé à la sur­veiller de plus près, comme peu­vent le deman­der cer­tains calath­eas déli­cats ? Doit-on la rem­pot­er régulière­ment ?

La luminosité et l’hygrométrie de mon intérieur lui conviennent-elles ? 

Inutile de prévoir l’achat d’un philo­den­dron pour votre baie vit­rée plein sud, qui va le brûler en été, ou à l’inverse, un cro­ton pour une cham­bre dont vous n’ouvrez jamais les volets. De même, un alo­ca­sia sera plus heureux dans une salle de bains qui s’embrume quo­ti­di­en­nement de vapeur d’eau, qu’à prox­im­ité du chauffage dans un salon bien sec.

Comment va-t-elle grandir et à quel rythme ? 

Atten­tion notam­ment aux plantes que l’on achète pour un emplace­ment spé­ci­fique et lim­ité. Ces jeunes plantes res­teront-elles petites assez longtemps pour tenir sur votre étagère ? Ce grand ficus risque-t-il de pren­dre trop d’espace ? 

Est-elle toxique pour mon animal ou mon enfant ? 

Mal­heureuse­ment, nom­bre de plantes très com­munes en intérieur (notam­ment dans la grande famille des Aracées) peu­vent s’avérer irri­tantes pour la peau en cas de con­tact avec la sève, et tox­iques lorsqu’elles sont ingérées. Mieux vaut se ren­seign­er au préal­able !

Quelques plantes com­munes tox­iques à met­tre hors de portée des ani­maux et enfants : /

Retrou­vez d’autres con­seils et bonnes pra­tiques sur les plantes vertes dans le Numéro 8 — Hiv­er 2021 “Créer”. Texte : Vic­to­ria Arias

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